c’est Sainte Odile qui l’a fait jaillir en frappant le rocher de son bâton13.

enceinte.
contes et légendes que de faits historiques incontestables. Le qualificatif de païen lui a été donné par Léon IX.
Pour la communauté DE BRIC et de BROC gérée par BRICABROCAMOI le thème du jour est « heurtoirs », donc nous
allons heurter à quelques portes…
Pour visualiser les autres heurtoirs, utiliser le curseur à droite
ETC……….
On va s’arrêter là , mais j’en ai de nombreux autres en réserve…
Très populaire, l’endroit devint un lieu de pèlerinage très fréquenté, notamment par les personnes atteintes de maladies oculaires et accueillit jusqu’à 130
moniales.
On peut encore voir le tombeau de sainte Odile dans une chapelle attenante au cloître.
Par le cloître (un des rare qui soit fermé) on arrive à la Terrasse qui offre une vue très large sur la plaine d’Alsace, sur Strasbourg, sur la Forêt-Noire.
Par temps clair c’est un véritable régal que d’admirer le riche panorama.
Une statue de Sainte Odile bénissant son pays domine la Terrasse.
Deux anciennes chapelles, décorées de mosaïques récentes, attirent la curiosité des visiteurs.
L’une, la Chapelle des Larmes, est bâtie sur l’ancien cimetière du monastère (plusieurs tombes taillées dans le rocher sont encore conservées).
C’est là que, selon la légende, Odile a pleuré et prié sur la tombe de son père. L’endroit est marqué par une grille. Les mosaïques représentent le tombeau
comme passage vers la lumière, les saints qui accueillent le défunt et le conduisent à la gloire du Christ.
La Chapelle des Anges (ou Chapelle Saint-Michel) contient des mosaïques représentant les Anges gardant l’accès du Paradis, annonçant la naissance du Sauveur
et son retour à la fin du monde, et luttant contre le mal.
Situé à 763 mètres d’altitude, le Mont Sainte Odile fut durant plusieurs siècles le siège d’un important monastère.
Aujourd’hui transformé en hôtel, ce lieu religieux autrefois dédié à Sainte Odile, patronne de l’Alsace, est encore fréquenté par de nombreux pèlerins.
Toutefois, le Mont Sainte Odile accueille un nombre important de visiteurs non croyants, désireux de profiter de l’environnement naturel et boisé du
lieu.
Le monastère est créé vers 700, après que le père d’Odile lui a légué le château, qu’elle transforme en couvent.
Très populaire, l’endroit devint un lieu de pèlerinage très fréquenté, notamment par les personnes atteintes de maladies oculaires et accueillit jusqu’à 130
moniales.
Dans une ruelle de la ville nous avons trouvé une présentation et animation de pressoirs des 16ème au 20ème siècles – et d’un alambic pour distiller les
marcs.
Présentés de gauche à droite :
•Pressoir très bien conservé ayant fonctionné jusqu’en 1950, daté de fin du 16ème siècle et rénové en 1844 suite à l’usure du pas de vis de la grosse poutre
transversale.
Il fut sans doute l’un des 19 pressoirs recensés dans le village entre 1595 et 1611.
Seules les familles bourgeoises détenaient un pressoir. Sa taille variait en fonction de la superficie des vignes exploitées.
•Remplissage des ‘barriques’ à l’aide d’un broc et d’un entonnoir en bois, pour ensuite livrer le vin aux diverses seigneurie du village.
•Première pompe à bras (fin 18ème s.) pour transvaser le jus de raisin ou le vin
Pressoir à cliquet (début 19ème s.) ayant appartenu au pasteur du village qui cultivait quelques parcelles de vignes et produisait son vin.
•Alambic pour la distillation des marcs.
•Pressoir rond à cliquet: le modèle le plus répandu en France au milieu du 19ème
Au XVIe siècle, le village comptait plusieurs dizaines de pressoirs en bois.
L’un des pressoirs daté de 1727, est l’un des huit rescapés de l’époque médiévale qui fonctionna jusqu’en 1952.
Il remplaça un ancien pressoir construit en 1571.
L’usure de la vis en bois et l’humidité de l’ensemble obligeait la communauté à les restaurer périodiquement. Des réparations furent entreprises au cours des
XVIIIe et XIXe siècle.
Pour des raisons de coût, seul l’imposant linteau et les piliers étaient en chêne massif, permettant de résister à de fortes pressions en mobilisant du
personnel.
Le moulin à huile, en grande partie du XVIIIe siècle, est dans un état de conservation remarquable. Il est l’un des rares en Alsace à n’avoir subi aucune
dégradation. En 1991, Paul Gerling, propriétaire de la ferme où est entreposé le moulin, fit don à la commune de Mittelbergheim du moulin à huile qui se trouvait dans sa cour.
Plus de la moitié du territoire de Mittelbergheim est composée de vignobles dont les vins sont appréciés, notamment le grand cru zotzenberg.
Donc sur la route des vins d’Alsace, le village offre aux visiteurs la vue d’un superbe ensemble architectural alsacien des XVIe et XVIIe siècles.
La richesse de son patrimoine lui permet d’être classé parmi les Plus Beaux Villages de France.
L’ hôtel de ville de style Renaissance présente un plan presque carré. L’escalier extérieur mène à une loggia, coiffée d’un toit à bulbe, servant probablement aux
cérémonies publiques
cliquer sur les photos pour agrandir et lire….
les voyages de chevrettew13
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